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  De 1959 à nos jours...Les Maïca recensés ou attendus DiversEscales techniques...


À la hune : Tanit


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La Coupe de l'America
 
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Lu sur le rabat de la jaquette

Le Captain John Illingworth a la réputation d'être l'un des meilleurs barreurs et architectes britanniques de course en haute-mer, et il est l'auteur d'un ouvrage classique en ce domaine, "Offshore". C'est en 1929 qu'il remporta son premier championnat.

Parmi ses nombreuses victoires, citons : Le Fasnet en 1947, 1949, 1955 et 1957 ; Sydney-Hobart en 1945 ; 7 victoires avec Wista, son yacht du J.O.G. Il a participé à la course des Bermudes avec 3 yachts britanniques, dont en 1948, son célèbre Myth of Malham.

Il a collaboré à la conception de nombreux yachts de course, en particulier Maïca, Belmore II, Sun Charm, Outlaw et Oryx. Le yacht de classe II dont il est actuellement propriétaire, Monk of Malham, a remporté en 1966 le championnat français du RORC.

Le Captain Illingworth court à présent sur Merle of Malham, le neuvième yacht de la lignée des Malham. On peut attribuer à John Illingworth une bonne part de responsabilité de vitesse démontrée par Gipsy Moth IV, de Sir Francis Chichester, durant son tour du monde.

Depuis la guerre, le Captain Illingworth a été Commodore du Royal Ocean Racing Club et Commodore de la Royal Naval Club Association, ainsi que fondateur et président, sept années durant, de la Sail Training Association britannique.


LA COUPE DE L'AMERICA
Préface* d'Olin Stephens
Traduction Florence Herbulot
Edition Robert Laffont
1969

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Un détail infime dans le tracé du gouvernail de Ranger !

* Préfacé par Olin Stephens, ce dernier tint à y préciser que si la conception du célèbre Classe J Ranger fût menée en collaboration avec Starling Burgess, il n'en fût pas de même pour ses lignes d'eau.

En effet, celles-ci furent dessinées séparément par Burgess (ci-contre), Stephens et des dessinateurs placés sous leur surveillance.

Après les essais en bassin, ce furent celles de Starling Burgess qui furent retenues.

En fait, un petit détail du tracé du gouvernail fit croire à Harold Vanderbilt que les lignes retenues étaient l'oeuvre d'Olin Stephens...

Pour rendre justice à Burgess qui venait de disparaître, Olin Stephens écrivit une lettre à la revue Sports Illustrated qui, en 1956, citant Harnold Vanderbilt, avait répandu la rumeur que le responsable des lignes de Ranger était Olin Stephens...

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A lire également dans le magazine Yachting Classique n°24 (juillet-août 2004) l'excellent article de Jacques Taglang "Burgess Père et fils, créateurs de génie"...


 
 
 
 
 

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